Il vous est probablement déjà arrivé de rencontrer des personnes rayonnantes qui semblent réussir tout ce qu’elles entreprennent avec fluidité et qui dégagent un profond sentiment de bien-être intérieur, de valeur personnelle et de sécurité.
Au-delà des simples apparences, certaines de ces personnes ont la capacité d’attirer à elles les situations, les gens, les opportunités et les expériences qui vont leur permettre de manifester leurs désirs qu’ils soient financiers ou autre.
A côté de cela, d’autres personnes, dont j’ai longtemps fait partie, sont pétries de doute et d’inquiétude, et ont plutôt tendance à voir le verre à moitié vide. Elles ont souvent beaucoup plus de difficultés à se réaliser et à réaliser leurs rêves.
A quoi est-ce lié ? Et comment basculer d’un état d’esprit de manque à un état d’esprit d’abondance ? C’est ce que nous allons voir dans cet épisode.
Dans ce 2e épisode de la série Les dessous de l’argent, nous allons nous intéresser à l’état d’esprit d’abondance.
Tout d’abord qu’est-ce que l’abondance ? Dans le dictionnaire, l’abondance est une grande quantité de quelque chose, une aisance procurée par des ressources importantes.
Selon Michaël Beckwith, un auteur et enseignant spirituel américain qui intervient notamment dans le documentaire et le livre Le Secret, l’abondance n’est pas seulement matérielle ou financière. C’est la vie elle-même, omniprésente dans sa plénitude.
Elle ne fait que s’étendre et elle est amplifiée lorsque notre intention et notre conscience sont au bon endroit.
L’abondance est notre essence et nous croyons pourtant en être séparés. Nous nous en sommes déconnectés avec tous les conditionnements qui nous ont amené à croire qu’il faut travailler dur pour obtenir ce que nous désirons, qu’il n’y a pas assez de ressources pour tout le monde, que certaines personnes sont destinées à vivre dans l’abondance et d’autres non.
Nous plaçons souvent notre focus sur ce qui ne va pas bien dans notre vie, sur le manque, et nous créons ainsi de la distance entre nous et l’abondance. Mais derrière le manque, il y a toujours un désir d’abondance.
